FADA des entrepreneurs

Vendredi 23 août 2019 - 18h à 21h] DLCoworking lance la 1ère édition de la "FADA DES ENTREPRENEURS" en partenariat avec Karatou-Post Bac Application et Plateforme Jeunesse Entrepreneuriat Thème: Quelles pistes pour assurer une éducation de qualité? #ODD4 Rdv à l'espace DLC ce vendredi 23 août à 18h pour une Fada pas comme les autres! Inscription 👉👉 contact@dlcoworking.com

HADIZA AMADOU MAIGA: UNE MÈRE TERESA EN HERBE

Le fait de servir dans le privé au lieu de l’Etat était un choix qui s’était imposé à moi. En effet, une banque de la place a demandé le meilleur élève de chaque établissement pour un concours et mon école m’avait proposé. C’était juste après mon BTS. C’est ainsi que débuta ma carrière dans le privé.

A propos

Moi c’est Hadiza Amadou Maiga. Je suis née a Tchirozerine, ma mère est touaregue et mon père sonrai . Je suis  très fière de mon brassage ethnique. J’ai passé mon enfance jusqu’au collège a Tchirozerine ensuite j’ai fait le lycée municipal de Niamey. Apres mon bac je me suis inscrite a l Institut Africain de Technologie (IAT) pour la filiere banque finance. J’ai trente (30) ans je suis mère d’un garçon de quatre (4) ans et demi. J’ai une licence en banque finance et un master en gestion des projets mais je me suis reconvertie en styliste juste après mon master.

Ambition

 Je suis certes jeune mais je pense que avoir de l’ambition, vouloir réussir dans ce qu’on fait n’est pas une question d’âge.  Mais plutôt une affaire de personnalité de chacun. Jai toujours aimé le contact avec les gens, aller vers les gens apprendre et partager. Mon brassage ethnique fait que l’amour de la culture devient une seconde nature pour moi. Je n’ai pas hésité un seul instant quand des artistes de la place avaient besoin de moi. Y en a d’autres c’est moi même qui vais vers eux. Comme vous le dites, j’œuvre effectivement a la fois comme couturière, nous aidons également les femmes à se prendre en charge en les formant pour avoir des activités génératrices de revenus (AGR) et nous intervenons aussi  dans les orphelinats.  Je fais le suivi de certains orphelinats à Niamey a travers des dons alimentaires, médicaux ou par l’organisation des ateliers récréatifs dans leur centre. De fois on nous appelle pour des soins en urgence de certains orphelins pour leur évacuation ou prise en charge de l’hospitalisation. Et comme je suis du domaine de la culture, j’ai aidé beaucoup d artistes pour l’élaboration de leur clip vu toutes les difficultés auxquelles ils sont confrontés. Je gère aussi plus de 87 groupement féminins a travers des AGR ou les femmes se regroupent et forment des petites entités. Nous les aidons a travers des petits prêts (sans intérêt). Nous leur faisons des formations (culinaire, artistique, domestique…),  l’objectif étant que chaque femme en 6 mois se retrouve avec au moins 5 métiers qu’elle aura appris pour se débrouiller dans la vie.

Histoire

M’occuper des orphelins en fait c’est venu naturellement. Je me rappelle ma première action envers les orphelinats c’était il y a huit (8) ans,  j’étais encore a l’école. Un ami a eu un accident. Nous étions la a attendre qu’il sorte et il y a des sœurs qui étaient venues a l’hôpital avec un enfant de quatre (4) ans. 

C’était insupportable à  voir comment ce petit   était brulé. Notre ami était sorti mais avec mes camarades de classe, on était resté jusqu’au bout pour voir comment le petit allait s’en sortir. Hamdoulillah ! Tout s’était bien passé. La semaine d’après on est allé le voir dans cet orphelinat. Ainsi de suite,  après quelques visites  j’ai pris gout à visiter les orphelinats. Et c’est ainsi aujourd’hui que j’essaie d’accompagner dans la mesure du possible ces enfants en situation de détresse à retrouver un peu de joie. Ces enfants privés à vie  par le destin de la chaleur de leurs parents. Ces enfants qui ont le droit a devenir des personnes jouissant de leurs pleins droits.

Source: http://www.nigerinter.com/2015/05/hadiza-maiga-une-mere-teresa-en-herbe/

MONIQUE ELYSEE: REDACTRICE DE E-PASSPORT

Une jeune femme nigérienne met au point, « Passeport », un magazine de guide de référence africaine. Elle s’ appelle Monique Élysée et c’est elle qui eu cette idée ingénieuse. Dans ce magazine, l’on retrouve un guide touristique complet qui met en avant les atouts, les richesses culturelles et les sites historiques de l’Afrique dans toute sa beauté.

A propos

Diplômée en management marketing, elle dirige la SARL Kamfas Consulting qui signifie en langue Haoussa « cabinet boussole » et est la fondatrice et directrice de publication du magazine depuis 2014. Cet excellent guide pour tout étranger en Afrique ou pour tout africain est imprimé chaque trimestre en 4000 exemplaires en format passeport comme son nom le laisse entendre. Depuis 2015, « Passeport » est disponible dans 23 pays d’Afrique, principalement les pays qui disposent des services de la compagnie d’aviation Asky, qui est l’un de ses partenaires.

Ambition

A travers ce chef d’œuvre, la rubrique « lexique du pays » met en valeur les langues africaines. On peut y retrouver également les recettes de plats africains, les plans de chaque ville, bref, tout ce qui relève de la valeur et de la richesse du continent. Avec sa petite équipe de 3 personnes, Monique Élysée a des projets bien ambitieux pour ce magazine. A moyen terme, le magazine sera disponible en numérique afin de permettre une meilleure mobilité du contenu vers de nouveaux horizons. Dans 4 ans, la jeune femme vise atteindre chacun des 52 pays africains et y créer au moins 3 emplois. Elle pourra donc par cette stratégie, contribuer à la réduction du chômage

Histoire

Une jeune femme nigérienne met au point, « Passeport », un magazine de guide de référence africaine. Elle s’ appelle Monique Élysée et c’est elle qui eu cette idée ingénieuse. Dans ce magazine, l’on retrouve un guide touristique complet qui met en avant les atouts, les richesses culturelles et les sites historiques de l’Afrique dans toute sa beauté. Diplômée en management marketing, elle dirige la SARL Kamfas Consulting qui signifie en langue Haoussa « cabinet boussole » et est la fondatrice et directrice de publication du magazine depuis 2014. Cet excellent guide pour tout étranger en Afrique ou pour tout africain est imprimé chaque trimestre en 4000 exemplaires en format passeport comme son nom le laisse entendre. Depuis 2015, « Passeport » est disponible dans 23 pays d’Afrique, principalement les pays qui disposent des services de la compagnie d’aviation Asky, qui est l’un de ses partenaires.

A travers ce chef d’œuvre, la rubrique « lexique du pays » met en valeur les langues africaines. On peut y retrouver également les recettes de plats africains, les plans de chaque ville, bref, tout ce qui relève de la valeur et de la richesse du continent.

Source: http://afriquefemme.com/fr/111-vie-pro/femmes-leaders/9571-monique-elysee-son-passeport-fait-le-tour-de-23-pays-africains

Mila Sabrina: Fondatrice et Rédactrice chez Actu Mag

Djamila aboubacar sahabi ,jeune nigérienne Épidémiologiste Bio Statisticienne de formation. Aujourd'hui par le chemin de la passion se trouve à la tête d'une Start up qui s'appelle Actu Magazine, qui est une plateforme en ligne et également un Magazine en papier visant à promouvoir l'entrepreneuriat , le Leadership ainsi que la culture , la Mode au Niger. A travers Actu Mag , nous faisons des interviews Vidéos et écrites des entrepreneurs Nigériens et nos talents dans le domaine de l'Art et de la Mode.

A propos

Cette jeune femme par la force de l'écriture est entrain de promouvoir le Leadership, la culture, l'Entreprenariat ainsi que la Mode. Cela non pas seulement au Niger mais aussi dans les pays voisins. Actu Magazine est sans doute le fruit d'un grand travail. De cet effet, le blog se démarque par les interviews Vidéo et écrits sur des jeunes entrepreneurs Nigériens mais aussi des talents dans le domaine de l'Art et de la Mode afin d'inspirer la jeunes gens. Actu Mag a connu un grand progré en 2 ans avec plus de 700 followers sur facebook, plus de 800 sur instagram et plus 400 sur twitter.

Ambition

Djamila, la jeune bloggueuse au sourire éclatant ne cessera jamais d'impressionner ses lecteurs. Elle a dernièrement fait sortir le concept HASKE MATAN Niger , une initiative qui fait parler du Leadership et l'Entreprenariat féminin au Niger . Elle raconte à travers des interviews vidéos le succès stories des femmes entrepreneurs battantes afin d'influencer la gente féminine à s'intéresser plus à l'Entreprenariat, la clé pour le développement durable.

Histoire

Djamila aboubacar sahabi ,jeune nigérienne Épidémiologiste Bio Statisticienne de formation. Aujourd'hui par le chemin de la passion se trouve à la tête d'une Start up qui s'appelle Actu Magazine, qui est une plateforme en ligne et également un Magazine en papier visant à promouvoir l'entrepreneuriat , le Leadership ainsi que la culture , la Mode au Niger. A travers Actu Mag , nous faisons des interviews Vidéos et écrites des entrepreneurs Nigériens et nos talents dans le domaine de l'Art et de la Mode.

Source: http://jeunesleadersnigeriens.blogspot.com/2017/11/djamila-sahabi-la-force-de-lecriture.html?spref=gp

REKI DJERMAKOYE: DIRECTRICE GENERALE ASUSU

Reki Moussa a réussi à installer au Niger une véritable institution qui a changé la vie de milliers de Nigériens. Société leader dans le domaine de la micro-finance au Niger, Asusu propose des crédits et des produit d’épargne à des foyers à faibles revenus et des micro-entrepreneurs de zones urbaines et rurales dans toutes les régions du pays.

A propos

Grande, élégante, la voix forte et déterminée, Reki Moussa est une chef d’entreprise de 42 ans au parcours original. Après des études d’Economie Appliquée à Dakar, elle commence sa carrière dans l’aide au développement au de l’ONG Care, où elle s’occupe notamment du projet Mata Masu Dubara (« Femmes créatives »), initié dans les années 90.

Ambition

Convaincue de tenir un projet d’avenir, Reki Moussa veut prolonger l’idée à l’échelle nationale et quitte Care pour créer en 2005 l’Association Asusu Cügaba. Le pari est immense mais Reki est une femme de défis qui n’a pas peur d’enchainer les heures de travail, les kilomètres, les réunions. « On me disait que ça ne marcherait jamais,se souvient la jeune PDG. Moi je voulais justement montrer que c’était possible, c’est ce défi qui m’a fait avancer!»

Histoire

Grâce à son abnégation, Reki Moussa mène très vite son association vers un essor exceptionnel: plus de 120 000 épargnants en trois ans et près de 50 000 emprunteurs. Cette expansion conduit Reki à créer en 2008 la société Asusu S.A. dont la mission est de prendre le relais du volet micro crédit de l’association, pour développer l’activité de façon professionnelle et pérenne. Aujourd’hui la société de Reki Moussa compte 300 employés et permet à 265 000 personnes de bénéficier d’un crédit ou d’autres services, dont 95% sont en zones rurales.

Source: http://www.tamtaminfo.com/reki-moussa-hassane-femme-de-defis/

HELENE AYIKA: DIRECTRICE GENERALE TALENT FIRST

Mariée et mère de trois enfants, Hélène Ayika a débuté très tôt sa carrière. Déjà nantie de ses diplômes en Langues à 19 ans, dame Ayika rêvait d’une carrière d’interprète lorsqu’elle a été sollicitée par la télévision nationale (Tele Sahel) pour assurer la traduction en marge d’une grande conférence sur l’Organisation islamique organisée au Niger. Nous étions en 1982.

A propos

La petite expérience passée dans les locaux de la télévision nationale a suffi pour passionner Hélène Ayika. Elle y reste et fait 13 ans dans la corporation. Animatrice de plusieurs émissions consacrées aux jeunes, « La petite école du dimanche » des années 82 reste toujours vive dans les mémoires des jeunes de l’époque. « Nous ne rations jamais les émissions d’Hélène Ayika, dans le temps. Elle aime bien les enfants et nous l’aimons beaucoup aussi », confie Abdel, la trentaine d’âge, sourire au coin des lèvres.

Ambition

Hélène Ayika est aussi une infatiguable battante de la promotion du leadership féminin. « Lorsque je suis arrivée à Airtel, il y avait 12 directeurs et j’étais la seule femme. Lorsque j’ai quitté, six ans après, il y avait 12 directeurs et 4 femmes. Ceci parce que je me suis donné comme objectif d’augmenter le nombre de femmes dans le comité directeur, » raconte-t-elle. Déjà en 1991, elle faisait partie des pionnières de la journée historique du 13 mai qui a vu les femmes nigériennes dans les rues pour réclamer plus d’équité et surtout leur participation à la Conférence nationale souveraine (période de l’instauration de la démocratie au Niger). Aujourd’hui, le 13 mai est reconnu comme la journée de la femme nigérienne. Directrice de son propre cabinet depuis janvier 2016, « Talent First » dédié au développement des solutions innovantes RH, Hélène Ayika poursuit son combat de promotion de la gent féminine et d’engagement de talents. « Pour avoir un talent, il faut le choisir soigneusement, entretenir sa performance, le développer pour qu’il devienne un atout pour l’entreprise, » laisse-t-elle entendre. Dans une société nigérienne ayant un poids socio-culturel réel, l’ancienne fonctionnaire des Nations unies met l’accent sur la formation. « Aujourd’hui, il y a beaucoup de femmes entrepreneures, beaucoup plus jeunes que moi et qui vivent un peu les difficultés de toute cette transformation culturelle. Elles sont jeunes, modernes et à la recherche de modèles, de repères, j’essaie d’intervenir à ce niveau par la formation parce qu’elle est la clé du développement. » Pour marquer ce 08 mars 2017, Hélène Ayika va présider une formation sur l’implication des jeunes dans l’évolution démographique du Niger. Laquelle formation est organisée par un club de jeunes femmes leader.

Histoire

« Ça n’a pas été facile. Mon père est togolais, ma mère nigérienne. J’ai commencé par travailler très jeune, je n’ai pas étudié au Niger, j’étais acculturée quand j’ai commencé à la télévision qui est un monde des hommes. J’ai osé et j’ai assumé mais cela n’a pas été facile. C’est cette jeunesse, cette insouciance qui m’a peut être épargnée des pesanteurs socio-culturelles que j’aurais eues si j’avais grandi au Niger,» Hélène Ayika, Directrice Talent First. « Madame Hélène est très observatrice, une dame de fer. Chez nous (en Côte d’ivoire, ndlr), on appelle ces genres de femme Femme-garçon. Elle est très brillante mais a aussi un franc parler,» Néhémie, employée. « C’est une dame qui n’a pas froid aux yeux, une battante. Je me rappelle du moment où elle animait les émissions à la télévision en 1982, elle était la seule à ne pas porter de voile, elle était critiquée, ça faisait du buzz... » Ismaël, employé.

source: https://www.niameyetles2jours.com/la-gestion-publique/education/0803-493-focus-sur-helene-ayika-la-dame-challenges